allégé, e adj. Se dit d’un produit alimentaire débarrassé de tout ou partie de ses graisses ou de ses sucres : Fromage allégé.Maxipoche 2014 © Larousse 2013
allége
ALLÉGE (a-lè-j’. Bien que l’Académie mette un accent aigu sur ce mot, on le prononce comme s’il y avait un accent grave) s. f.1° Embarcation qui suit un bâtiment pour le décharger ou le charger. Il se trouva 198 vaisseaux de guerre en comptant les alléges [VOLT., Louis XIV, 29] 2° En termes d’architecture, mur d’appui d’une fenêtre, moins épais que l’embrasure. 3° Terme de marine. Chameau ou sorte de machine au moyen de laquelle on soulève un vaisseau. 4° En termes de chemin de fer, chariot d’approvisionnement qui porte l’eau et le charbon. ÉTYMOLOGIEBas-lat. allegium (voy. ALLÉGER). On a dit dans le XIIIe s. alevioire. Et toutes alevioires sont quites [de péage], ù ke li grans neif soit u amont ou aval [TAILLIAR, Recueil, p. 484] Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877
allégé
allégé, e adj. Se dit d’un produit alimentaire débarrassé de tout ou partie de ses graisses ou de ses sucres : Fromage allégé.Maxipoche 2014 © Larousse 2013
allège
allège ALLÈGE. n. f. T. de Marine. Embarcation qui sert à alléger un bâtiment, à le décharger de ce qu’il y a de trop, ainsi qu’à le charger. L’allège d’un bâtiment. Il y a des allèges assez grandes pour pouvoir naviguer le long des côtes. En termes d’Architecture, il se dit d’un Petit mur construit dans la partie inférieure d’une baie de fenêtre, pour servir de garde- fou et porter l’appui. Allegé, ou Allegément, ou Allegeance, Leuatio, Alleuatio, Leuamen, Leuamentum. ALLèGE, s. f. [L’Acad. met l’accent aigu, mais l’è est moy. Alège.] Petit bâteau, qui va à la suite d’un grand, pour le décharger de ce qu’ il a de trop.