écoulement

écoulement n.m. 1. Mouvement d’un fluide, d’un corps visqueux qui s’écoule : L’écoulement de l’eau dans le percolateur évacuation sécrétion2. Flux de personnes, de véhicules : L’écoulement de la foule à la sortie des cinémas.3. Mouvement du temps qui passe : L’écoulement des heures, des jours fuite4. Action ou possibilité d’écouler des marchandises ; vente, débouché : L’écoulement d’un stock de vêtements.Maxipoche 2014 © Larousse 2013écoulement (ekulm??) nom masculin 1. fait de s’écouler, de se répandre l’écoulement des eaux de pluie dans les gouttières 2. fait de vendre en totalité l’écoulement des stocks 3. figuré mouvement du temps qui passe, qui s’écoule l’écoulement des jours Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ÉCOULEMENT (é-kou-le-man) s. m.1° Mouvement des liquides qui suivent leur pente, des fluides qui ne sont plus contenus. L’écoulement des eaux. Terme d’hydraulique. Sortie, par un orifice, d’un liquide hors du vase qui le contient. 2° Fig.Ce choix de serviteurs fidèles, intrépides, Qui soulagent tes soins, mais sur qui tu présides, Et dont tout le pouvoir qui fait tant de jaloux N’est qu’un écoulement de tes ordres sur nous [CORN., Remercîment au Roi.] Le doux écoulement de votre âme dans sa bonté [BOSSUET, Lett. Corn. 122] Si notre âme n’était secourue par cette activité infatigable qui répare les écoulements perpétuels de notre esprit, nous ne durerions qu’un instant [VAUVENARGUES, Nouv. max. 42] 3° Terme de médecine. Sortie d’une humeur fournie par un organe malade ou non. Dans la morve, il y a écoulement par le nez. L’écoulement des menstrues. Absolument et en dehors de la médecine, se dit d’un diminutif de blennorrhagie. 4° Terme de commerce. L’écoulement des produits, des marchandises, la vente successive de ces produits, de ces marchandises. 5° Il se dit aussi de la foule qui passe, d’un corps de troupes qui traverse quelque passage étroit. Il y avait, à l’issue du pont, sur l’autre rive, un marais où beaucoup de chevaux et de voitures s’étaient enfoncés, ce qui embarrassait encore et retardait l’écoulement [SÉGUR, Hist. de Nap. XI, 9] Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877écoulement ÉCOULEMENT. n. m. Action de s’écouler. L’écoulement de l’eau, des eaux. Il se dit spécialement, en termes de Médecine, du Mouvement des humeurs qui sortent d’un organe. Écoulement catarrhal. Il se dit aussi absolument d’une Hémorragie légère. Il signifie figurément Mouvement progressif ou continu. L’écoulement d’une foule. L’écoulement du temps. Il signifie aussi particulièrement Exportation, vente, débit des marchandises, des produits de l’agriculture ou des fabriques. Ménager un débouché qui favorise l’écoulement des farines. ÉCOULEMENT, s. m. ÉCOULER (s’) v. réc. [É-kou-leman, lé, 1re é fer. 3e e muet au 1er, é fer. au 2d.] Écoulement est le flux, le moûvement de ce qui s’écoule. S’écouler, c’est couler hors de quelque endroit. Ils se disent au propre et au figuré: « L’écoulement de l’eau, ou des eaux, des humeurs, des esprits, etc. L’écoulement de la lumière, de la grâce, etc. ? « Le torrent s’est écoulé, l’eau s’écoule; elle s’est écoulée. « Le vin s’est écoulé du tonneau, etc. Le temps, l’argent s’écoule; la foule, la presse s’écoule. « Cela s’est écoulé de la mémoire. = Écouler, est neutre dans ces phrâses: Faire écouler l’eau: « Laisser écouler la foule.    ÉCOULÉ, participe. « Le temps est écoulé, le terme préfix est passé.    Rem. 1°. Un Auteur moderne fait régir à s’écouler la prép. à et l’ infinitif. « Ses heures s’écoulent rapidement à cultiver le jardin dont on lui a permis l’usage. Du Plaisir. ? C’est le régime de se passer, transporté à s’écouler; mais l’usage admet l’un, et reprouve l’aûtre.    2°. * Ecoulement, pour Coulage, est un gasconisme. « J’ai perdu beaucoup de vin par un écoulement imperceptible. Gascon. corr.    3°. * En Provence, plusieurs font ce verbe actif, et lui donent le sens de vider. « Il a écoulé toute la bouteille. ? C’est un provençalisme, une locution provençale, habillée à la Française.

ecoulement

écoulement n.m. 1. Mouvement d’un fluide, d’un corps visqueux qui s’écoule : L’écoulement de l’eau dans le percolateur évacuation sécrétion2. Flux de personnes, de véhicules : L’écoulement de la foule à la sortie des cinémas.3. Mouvement du temps qui passe : L’écoulement des heures, des jours fuite4. Action ou possibilité d’écouler des marchandises ; vente, débouché : L’écoulement d’un stock de vêtements.Maxipoche 2014 © Larousse 2013écoulement (ekulm??) nom masculin 1. fait de s’écouler, de se répandre l’écoulement des eaux de pluie dans les gouttières 2. fait de vendre en totalité l’écoulement des stocks 3. figuré mouvement du temps qui passe, qui s’écoule l’écoulement des jours Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ÉCOULEMENT (é-kou-le-man) s. m.1° Mouvement des liquides qui suivent leur pente, des fluides qui ne sont plus contenus. L’écoulement des eaux. Terme d’hydraulique. Sortie, par un orifice, d’un liquide hors du vase qui le contient. 2° Fig.Ce choix de serviteurs fidèles, intrépides, Qui soulagent tes soins, mais sur qui tu présides, Et dont tout le pouvoir qui fait tant de jaloux N’est qu’un écoulement de tes ordres sur nous [CORN., Remercîment au Roi.] Le doux écoulement de votre âme dans sa bonté [BOSSUET, Lett. Corn. 122] Si notre âme n’était secourue par cette activité infatigable qui répare les écoulements perpétuels de notre esprit, nous ne durerions qu’un instant [VAUVENARGUES, Nouv. max. 42] 3° Terme de médecine. Sortie d’une humeur fournie par un organe malade ou non. Dans la morve, il y a écoulement par le nez. L’écoulement des menstrues. Absolument et en dehors de la médecine, se dit d’un diminutif de blennorrhagie. 4° Terme de commerce. L’écoulement des produits, des marchandises, la vente successive de ces produits, de ces marchandises. 5° Il se dit aussi de la foule qui passe, d’un corps de troupes qui traverse quelque passage étroit. Il y avait, à l’issue du pont, sur l’autre rive, un marais où beaucoup de chevaux et de voitures s’étaient enfoncés, ce qui embarrassait encore et retardait l’écoulement [SÉGUR, Hist. de Nap. XI, 9] Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877écoulement ÉCOULEMENT. n. m. Action de s’écouler. L’écoulement de l’eau, des eaux. Il se dit spécialement, en termes de Médecine, du Mouvement des humeurs qui sortent d’un organe. Écoulement catarrhal. Il se dit aussi absolument d’une Hémorragie légère. Il signifie figurément Mouvement progressif ou continu. L’écoulement d’une foule. L’écoulement du temps. Il signifie aussi particulièrement Exportation, vente, débit des marchandises, des produits de l’agriculture ou des fabriques. Ménager un débouché qui favorise l’écoulement des farines. ÉCOULEMENT, s. m. ÉCOULER (s’) v. réc. [É-kou-leman, lé, 1re é fer. 3e e muet au 1er, é fer. au 2d.] Écoulement est le flux, le moûvement de ce qui s’écoule. S’écouler, c’est couler hors de quelque endroit. Ils se disent au propre et au figuré: « L’écoulement de l’eau, ou des eaux, des humeurs, des esprits, etc. L’écoulement de la lumière, de la grâce, etc. ? « Le torrent s’est écoulé, l’eau s’écoule; elle s’est écoulée. « Le vin s’est écoulé du tonneau, etc. Le temps, l’argent s’écoule; la foule, la presse s’écoule. « Cela s’est écoulé de la mémoire. = Écouler, est neutre dans ces phrâses: Faire écouler l’eau: « Laisser écouler la foule.    ÉCOULÉ, participe. « Le temps est écoulé, le terme préfix est passé.    Rem. 1°. Un Auteur moderne fait régir à s’écouler la prép. à et l’ infinitif. « Ses heures s’écoulent rapidement à cultiver le jardin dont on lui a permis l’usage. Du Plaisir. ? C’est le régime de se passer, transporté à s’écouler; mais l’usage admet l’un, et reprouve l’aûtre.    2°. * Ecoulement, pour Coulage, est un gasconisme. « J’ai perdu beaucoup de vin par un écoulement imperceptible. Gascon. corr.    3°. * En Provence, plusieurs font ce verbe actif, et lui donent le sens de vider. « Il a écoulé toute la bouteille. ? C’est un provençalisme, une locution provençale, habillée à la Française.