abatardir

abâtardirParticipe passé: abâtardiGérondif: abâtardissantIndicatif présentPassé simpleImparfaitFuturConditionnel présentSubjonctif imparfaitSubjonctif présentImpératifPlus-que-parfaitFutur antérieurPassé composéConditionnel passé Passé antérieurSubjonctif passéSubjonctif plus-que-parfaitIndicatif présentj’abâtardistu abâtardisil/elle abâtarditnous abâtardissonsvous abâtardissezils/elles abâtardissentPassé simplej’abâtardistu abâtardisil/elle abâtarditnous abâtardîmesvous abâtardîtesils/elles abâtardirentImparfaitj’abâtardissaistu abâtardissaisil/elle abâtardissaitnous abâtardissionsvous abâtardissiezils/elles abâtardissaientFuturj’abâtardiraitu abâtardirasil/elle abâtardiranous abâtardironsvous abâtardirezils/elles abâtardirontConditionnel présentj’abâtardiraistu abâtardiraisil/elle abâtardiraitnous abâtardirionsvous abâtardiriezils/elles abâtardiraientSubjonctif imparfaitj’abâtardissetu abâtardissesil/elle abâtardîtnous abâtardissionsvous abâtardissiezils/elles abâtardissentSubjonctif présentj’abâtardissetu abâtardissesil/elle abâtardissenous abâtardissionsvous abâtardissiezils/elles abâtardissentImpératifabâtardis (tu)abâtardissons (nous)abâtardissez (vous)Plus-que-parfaitj’avais abâtarditu avais abâtardiil/elle avait abâtardinous avions abâtardivous aviez abâtardiils/elles avaient abâtardiFutur antérieurj’aurai abâtarditu auras abâtardiil/elle aura abâtardinous aurons abâtardivous aurez abâtardiils/elles auront abâtardiPassé composéj’ai abâtarditu as abâtardiil/elle a abâtardinous avons abâtardivous avez abâtardiils/elles ont abâtardiConditionnel passéj’aurais abâtarditu aurais abâtardiil/elle aurait abâtardinous aurions abâtardivous auriez abâtardiils/elles auraient abâtardi Passé antérieurj’eus abâtarditu eus abâtardiil/elle eut abâtardinous eûmes abâtardivous eûtes abâtardiils/elles eurent abâtardiSubjonctif passéj’aie abâtarditu aies abâtardiil/elle ait abâtardinous ayons abâtardivous ayez abâtardiils/elles aient abâtardiSubjonctif plus-que-parfaitj’eusse abâtarditu eusses abâtardiil/elle eût abâtardinous eussions abâtardivous eussiez abâtardiils/elles eussent abâtardiCollins French Verb Tables © HarperCollins Publishers 2011

abâtardîmes

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardies

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardie

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardi, ie

ABÂTARDI, IE (a-bâ-tar-di, die) part. passé.Plantes abâtardies. Ames abâtardies. Restes abâtardis d’une nation puissante. Jamais on n’a vu votre empire si lâche, si abâtardi, si indigne des anciens Romains [FÉN., t. XIX, p. 180] Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877

abatant

ABATANT (a-ba-tan) s. m.1° Pièce du métier à bas qui fait descendre les platines à plomb. 2° Partie du comptoir d’un marchand qu’on lève et qu’on abaisse. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877

abatages

ABATAGE (a-ba-ta-j’) s. m.1° Terme forestier. Action d’abattre. L’abatage des bois se fait en automne. 2° En termes de marine, l’abatage d’un bâtiment est l’opération par laquelle on l’incline sur le côté pour l’abattre en carène. 3° En termes d’administration militaire, l’abatage des bestiaux est la mise à mort des animaux destinés à la nourriture de la troupe. 4° En termes de police sanitaire, l’abatage est la mise à mort des grands animaux domestiques, soit parce qu’ils sont vieux ou incurables, soit par précaution, quand ils sont suspects ou atteints d’une maladie contagieuse. L’abatage des chevaux est nécessaire en cas de morve. 5° En termes de vétérinaire, action de renverser et de fixer les grands animaux sur un lit de paille, quand ils doivent subir des opérations chirurgicales. REMARQUEL’Académie n’y met qu’un seul t ; mais elle en met deux à abattre ; la conséquence veut qu’on mette deux t à abatage, ou qu’on n’en mette qu’un à abattre. HISTORIQUEXIIIe s. Et si a li cuens [comte] à l’abataige des pourceaux soixante dix sols par an [DU CANGE, abatere.] ÉTYMOLOGIEAbattre. SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIREABATAGE. Ajoutez : 6° Terme d’exploitation houillère. Action d’abattre la houille dégagée par le havage. 7° À certains jeux de cartes, action d’abattre ses cartes. Dans le baccarat en banque, il y a à peu près la moitié des coups où il y a au moins un abatage [E. DORMOY, Journ. des Actuaires franç. t. II, p. 45] Le banquier n’éprouve aucune difficulté quand il y a un abatage à sa droite ou à sa gauche, parce qu’alors il n’a plus à tenir compte, pour décider sa manière de jouer, que du tableau qui n’a pas abattu [ID., ib. p. 39] Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abatage ABATAGE. s. m. Action d’abattre les bois qui sont sur pied, de les couper; ou Les frais que ce travail nécessite. On ne commencera l’abatage de ces bois qu’au mois de novembre. C’est à l’acheteur à payer l’abatage. Il signifie aussi, en termes de Marine, L’action d’abattre un navire. Il signifie encore, L’action de tuer, de mettre à mort les chevaux, les bestiaux, etc. L’abatage est prescrit par les règlements, dans le cas de maladie contagieuse.

abatage

ABATAGE (a-ba-ta-j’) s. m.1° Terme forestier. Action d’abattre. L’abatage des bois se fait en automne. 2° En termes de marine, l’abatage d’un bâtiment est l’opération par laquelle on l’incline sur le côté pour l’abattre en carène. 3° En termes d’administration militaire, l’abatage des bestiaux est la mise à mort des animaux destinés à la nourriture de la troupe. 4° En termes de police sanitaire, l’abatage est la mise à mort des grands animaux domestiques, soit parce qu’ils sont vieux ou incurables, soit par précaution, quand ils sont suspects ou atteints d’une maladie contagieuse. L’abatage des chevaux est nécessaire en cas de morve. 5° En termes de vétérinaire, action de renverser et de fixer les grands animaux sur un lit de paille, quand ils doivent subir des opérations chirurgicales. REMARQUEL’Académie n’y met qu’un seul t ; mais elle en met deux à abattre ; la conséquence veut qu’on mette deux t à abatage, ou qu’on n’en mette qu’un à abattre. HISTORIQUEXIIIe s. Et si a li cuens [comte] à l’abataige des pourceaux soixante dix sols par an [DU CANGE, abatere.] ÉTYMOLOGIEAbattre. SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIREABATAGE. Ajoutez : 6° Terme d’exploitation houillère. Action d’abattre la houille dégagée par le havage. 7° À certains jeux de cartes, action d’abattre ses cartes. Dans le baccarat en banque, il y a à peu près la moitié des coups où il y a au moins un abatage [E. DORMOY, Journ. des Actuaires franç. t. II, p. 45] Le banquier n’éprouve aucune difficulté quand il y a un abatage à sa droite ou à sa gauche, parce qu’alors il n’a plus à tenir compte, pour décider sa manière de jouer, que du tableau qui n’a pas abattu [ID., ib. p. 39] Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abatage ABATAGE. s. m. Action d’abattre les bois qui sont sur pied, de les couper; ou Les frais que ce travail nécessite. On ne commencera l’abatage de ces bois qu’au mois de novembre. C’est à l’acheteur à payer l’abatage. Il signifie aussi, en termes de Marine, L’action d’abattre un navire. Il signifie encore, L’action de tuer, de mettre à mort les chevaux, les bestiaux, etc. L’abatage est prescrit par les règlements, dans le cas de maladie contagieuse.

abat ou abas

ABAT ou ABAS (a-ba ou a-bâ) s. m.Averse, pluie abondante. Ces vapeurs peuvent causer un vent d’abas [DESC., Météor. 7] L’accumulation des neiges, les pluies et les orages y déterminent des avalanches et des abats de boues et de pierres, qui descendent dans les vallées jusqu’à des altitudes de mille mètres [BURAT, Constitutionnel du 3 septembre 1858] ÉTYMOLOGIEÀ et battre. Dans l’arrondissement de Caen, la pluie d’abat est une pluie abondante [, Dict. du patois normand par MM. Duméril] Si on suivait l’orthographe de Descartes, l’étymologie serait à et bas. SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIREABAT. Ajoutez : 2° Abatis de volaille. Les tripiers, à Paris, ont ordinairement sur leur enseigne : marchand d’abats. 3° Terme de boucherie. Synonyme d’abatis, c’est-à-dire la peau, la graisse et les tripes des bêtes tuées. Voici, d’après la Halle aux cuirs, les prix de vente à la tannerie des peaux en poil de l’abat de Paris, par 50 kil., et pour le courant de juin…. [, Journ. offic. 15 juin 1874, p. 4044, 3e col.] Les abats rouges, les parties qui sont encore rouges. Pour le cinquième quartier, composé des suif, cuir et abats rouges… [, ib. 17 février 1874, p. 1319, 2e col.] Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877