abâtardissement

abâtardissement n.m. Action d’abâtardir ; état de ce qui est abâtardi : L’abâtardissement d’une race bovine dégénérescenceMaxipoche 2014 © Larousse 2013ABÂTARDISSEMENT (a-bâ-tar-di-s’-man) s. m.Dégénération au propre et au figuré. L’abâtardissement des arbres fruitiers, des esprits. REMARQUEDes grammairiens ont désiré que l’Académie supprimât l’accent circonflexe. Il est de fait que certains prononcent abatardissement, a bref, au lieu de a long ; mais la plupart suivent dans ce mot la prononciation de bâtard où l’a est long. L’accent circonflexe qui indique ici et l’étymologie et la prononciation doit donc être conservé. HISTORIQUEXVIe s. De ceux là, y en a aucuns qui se trompent eux mesmes ; et les autres sont trompés par l’abastardissement des coustumes [LANOUE, 117] La trop grande et indocte multitude des escrivains qui de jour en jour s’eleve en France, au grand deshonneur et abastardissement de nostre langue [DU BEL., III, 2, recto] ÉTYMOLOGIEAbâtardir. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardissement ABÂTARDISSEMENT. n. m. État de ce qui est abâtardi, au propre et au figuré. L’abâtardissement d’une race d’animaux. L’abâtardissement d’un plant de vigne. L’abâtardissement des esprits. Dictionnaire de L’Académie française 8th Edition © 1932-5abâtardissement ABâTARDISSEMENT, s. m. [Abâtardiceman, 2e. long. le reste bref. 5e. e muet, en y a le son d’an.] Altération d’une chose qui déchoit de son état naturel. ? Il a le sens passif, et se dit au propre et au figuré de ce qui est abâtardi. « L’abâtardissement du courage: l’abâtardissement du plant, fait que le vin devient mauvais.

abâtardisse

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardissant

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardissait

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardissais

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardissaient

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardis

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardiront

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardirons

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.

abâtardirions

abâtardir v.t.1. Faire perdre ses qualités originelles à : Abâtardir une race d’animaux.2. Faire perdre sa force, sa vigueur, sa valeur à : Ils ont abâtardi le surréalisme avilir, rabaissers’abâtardir v.pr. Perdre ses qualités originelles : Des idées qui se sont abâtardies dégénérerMaxipoche 2014 © Larousse 2013abâtardir (ab?ta?di?) verbe transitif animal faire perdre de sa qualité à une race abâtardir une race de chiens par des croisements Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABÂTARDIR (a-bâ-tar-dir : quelques-uns disent a-ba-tar-dir par un a bref ; mais la plupart disent bâ comme dans bâtard) v. a.1° Faire dégénérer, au propre et au figuré. La mauvaise culture abâtardit les plantes. Ils ne voyaient là que des moyens d’abâtardir les courages. 2° S’abâtardir, v. réfl. Dégénérer. Les arbres fruitiers s’abâtardissent si on ne les soigne constamment. S’abâtardir dans l’oisiveté. La pureté de la doctrine était abâtardie par les Vaudois [BOSSUET, Var. X] HISTORIQUEXIIe s. Com nostre lois est hui abastardie [, Ronc. p. 116] XIIIe s. Bien est France abastardie, Seigneur baron, entendez, Quant femme [la reine Blanche] l’a en baillie, Et tele comme savez [HUE DE LA FERTÉ, Rom. p. 188] XVIe s. Ceste arrogance grecque, admiratrice seulement de ses inventions, n’avoit loi ni privilege de legitimer ainsi sa nation, et abastardir les autres [DU BELLAY, I, 4, recto.] La peur descouvre un c?ur abastardi [ID., IV, 6, verso.] Sitost qu’on se detourne de la parole, l’oraison est quant et quant abastardie [CALV., Inst. 704] Ils se sont abastardis en degenerant de leurs peres [ID., ib. 747] Ceux qui seront convaincus de s’estre abastardis de leur origine [ID., ib. 838] ÉTYMOLOGIEÀ et bâtard ; provenç. abastardir ; anc. espagn. abastardar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abâtardir ABÂTARDIR. v. tr. Altérer de façon à faire dégénérer. Le défaut de soins a tout à fait abâtardi cette race d’animaux. Cette race s’est abâtardie. Ce plant de vigne s’abâtardit chaque jour. Il s’emploie aussi figurément. Une longue servitude abâtardit le courage. Les plus heureux talents s’abâtardissent dans l’oisiveté. Courage abâtardi. ABâTARDIR, v. a. [Abâtardi, 2e. lon. le reste bref.] Altérer la natûre de quelque chose, la faire déchoir de son état naturel. Trev.Acad. ? Ce mot est moins noble qu’expressif: l’actif est moins usité que le réciproque, s’abâtardir. Le premier ne s’emploie que dans le figuré: l’autre est bon, et pour le figuré et pour le propre, et dans le moral et dans le physique. « La misère et l’esclavage ont abâtardi le courage des Grecs. ? « Les plantes d’Orient s’abâtardissent en Europe. « Les meilleures choses s’abâtardissent avec le temps.