abnégation

abnégation n.f. [ lat. abnegatio, renoncement ] Action de faire taire ses sentiments, de renoncer à ses intérêts au profit d’autrui : Faire preuve d’abnégation dévouement, sacrifice ; égoïsmeMaxipoche 2014 © Larousse 2013abnégation (abnegasj??) nom féminin sacrifice de soi, fait de renoncer à ses propres intérêts travailler avec abnégation Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABNÉGATION (ab-né-ga-sion) s. f.Renoncement. Faire abnégation de ses intérêts. Agir avec abnégation. L’abnégation est un sacrifice. Avec une parfaite abnégation de ses désirs [BOSSUET, Lettr. abb. CL.] Est-il un plus beau sacrifice ? est-il une abnégation de soi-même et une mortification plus parfaite ? [BOURD., Pens. t. III, p. 153] Le grand avantage de la vie religieuse, c’est l’abnégation chrétienne, c’est la mortification des sens, c’est la croix [ID., ib. t. II, p. 362] La pratique de cette abnégation évangélique en quoi consiste le vrai christianisme et par conséquent le salut [ID., ib. t. I, p. 88] C’est une qualité dans les individus que l’abnégation de soi-même [STAËL, Allem. I, 2] HISTORIQUEXVIe s. La justice de Dieu git en abnegation de nous mesmes et obeissance de sa volonté [CALV., Inst. 191] A tous autres de la dite religion, d’en venir faire abnegation dans six mois [D’AUB., Hist. II, 483] ÉTYMOLOGIEAbnegatio, de ab, indiquant séparation, et de negare, nier (voy. NIER). Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abnégation ABNÉGATION. n. f. Renoncement, sacrifice. Je fais abnégation de mon intérêt propre, de ma volonté. Je fais ici abnégation de tout sentiment personnel. En termes de Théologie, il se dit du Détachement de tout ce qui n’a point rapport à Dieu. Pour s’attacher uniquement à Dieu il fait abnégation de ce que l’homme a de plus cher. ABNÉGATION, s. f. [Abnéga-cion, et en vers, ci-on: tout bref: 2e. é fer.] Terme de dévotion: l’abnégation de soi même, le renoncement à soi-même et le détachement de tout ce qui n’est pas Dieu. ? Il ne se dit qu’en cette phrase. = M. Elie de Beaumont l’emploie dans un Mémoire dans le sens de renoncement: « Par cette abnégation honteuse du plus beau de ses privilèges. Ce mot me paroît dans cette occasion heureusement employé.

abnegation

abnégation n.f. [ lat. abnegatio, renoncement ] Action de faire taire ses sentiments, de renoncer à ses intérêts au profit d’autrui : Faire preuve d’abnégation dévouement, sacrifice ; égoïsmeMaxipoche 2014 © Larousse 2013abnégation (abnegasj??) nom féminin sacrifice de soi, fait de renoncer à ses propres intérêts travailler avec abnégation Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.ABNÉGATION (ab-né-ga-sion) s. f.Renoncement. Faire abnégation de ses intérêts. Agir avec abnégation. L’abnégation est un sacrifice. Avec une parfaite abnégation de ses désirs [BOSSUET, Lettr. abb. CL.] Est-il un plus beau sacrifice ? est-il une abnégation de soi-même et une mortification plus parfaite ? [BOURD., Pens. t. III, p. 153] Le grand avantage de la vie religieuse, c’est l’abnégation chrétienne, c’est la mortification des sens, c’est la croix [ID., ib. t. II, p. 362] La pratique de cette abnégation évangélique en quoi consiste le vrai christianisme et par conséquent le salut [ID., ib. t. I, p. 88] C’est une qualité dans les individus que l’abnégation de soi-même [STAËL, Allem. I, 2] HISTORIQUEXVIe s. La justice de Dieu git en abnegation de nous mesmes et obeissance de sa volonté [CALV., Inst. 191] A tous autres de la dite religion, d’en venir faire abnegation dans six mois [D’AUB., Hist. II, 483] ÉTYMOLOGIEAbnegatio, de ab, indiquant séparation, et de negare, nier (voy. NIER). Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abnégation ABNÉGATION. n. f. Renoncement, sacrifice. Je fais abnégation de mon intérêt propre, de ma volonté. Je fais ici abnégation de tout sentiment personnel. En termes de Théologie, il se dit du Détachement de tout ce qui n’a point rapport à Dieu. Pour s’attacher uniquement à Dieu il fait abnégation de ce que l’homme a de plus cher. ABNÉGATION, s. f. [Abnéga-cion, et en vers, ci-on: tout bref: 2e. é fer.] Terme de dévotion: l’abnégation de soi même, le renoncement à soi-même et le détachement de tout ce qui n’est pas Dieu. ? Il ne se dit qu’en cette phrase. = M. Elie de Beaumont l’emploie dans un Mémoire dans le sens de renoncement: « Par cette abnégation honteuse du plus beau de ses privilèges. Ce mot me paroît dans cette occasion heureusement employé.

abluait

ABLUER (a-blu-é) v. a.Terme technique. Laver, passer légèrement une liqueur préparée avec de la noix de galle sur du parchemin ou du papier, pour faire revivre l’écriture. ÉTYMOLOGIEAbluere, de ab, indiquant séparation, et luere, laver (voy. LOTION). Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abluer ABLUER. v. a. Laver. Il est vieux en ce sens. Il signifie ordinairement, Passer légèrement une liqueur préparée avec de la noix de galle sur du parchemin ou du papier, pour faire revivre l’écriture.

abluais

ABLUER (a-blu-é) v. a.Terme technique. Laver, passer légèrement une liqueur préparée avec de la noix de galle sur du parchemin ou du papier, pour faire revivre l’écriture. ÉTYMOLOGIEAbluere, de ab, indiquant séparation, et luere, laver (voy. LOTION). Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abluer ABLUER. v. a. Laver. Il est vieux en ce sens. Il signifie ordinairement, Passer légèrement une liqueur préparée avec de la noix de galle sur du parchemin ou du papier, pour faire revivre l’écriture.

abluaient

ABLUER (a-blu-é) v. a.Terme technique. Laver, passer légèrement une liqueur préparée avec de la noix de galle sur du parchemin ou du papier, pour faire revivre l’écriture. ÉTYMOLOGIEAbluere, de ab, indiquant séparation, et luere, laver (voy. LOTION). Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abluer ABLUER. v. a. Laver. Il est vieux en ce sens. Il signifie ordinairement, Passer légèrement une liqueur préparée avec de la noix de galle sur du parchemin ou du papier, pour faire revivre l’écriture.

abluai

ABLUER (a-blu-é) v. a.Terme technique. Laver, passer légèrement une liqueur préparée avec de la noix de galle sur du parchemin ou du papier, pour faire revivre l’écriture. ÉTYMOLOGIEAbluere, de ab, indiquant séparation, et luere, laver (voy. LOTION). Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abluer ABLUER. v. a. Laver. Il est vieux en ce sens. Il signifie ordinairement, Passer légèrement une liqueur préparée avec de la noix de galle sur du parchemin ou du papier, pour faire revivre l’écriture.

ablua

ABLUER (a-blu-é) v. a.Terme technique. Laver, passer légèrement une liqueur préparée avec de la noix de galle sur du parchemin ou du papier, pour faire revivre l’écriture. ÉTYMOLOGIEAbluere, de ab, indiquant séparation, et luere, laver (voy. LOTION). Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877abluer ABLUER. v. a. Laver. Il est vieux en ce sens. Il signifie ordinairement, Passer légèrement une liqueur préparée avec de la noix de galle sur du parchemin ou du papier, pour faire revivre l’écriture.