surdoué, e adj. et n. Se dit d’un enfant dont les capacités intellectuelles sont très supérieures à la moyenne : Une école réservée aux surdoués.Maxipoche 2014 © Larousse 2013surdoué surdouée (sy?dwe) adjectif qui est mentalement très supérieur à la moyenne un élève surdoué surdoué masculin surdouée féminin nom un établissement spécialisé pour surdoués Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.
surdose
surdose n.f. Dose excessive d’un stupéfiant ou d’un médicament psychotrope, susceptible d’entraîner la mort overdoseMaxipoche 2014 © Larousse 2013
surdosage
surdosage n.m. Dosage excessif ; administration d’un médicament à une dose excessive : En cas de surdosage, avertir immédiatement le médecin.Maxipoche 2014 © Larousse 2013
surdos
SURDOS (sur-dô) s. m.Terme de sellier. Pièce du harnachement placée sur le dos des chevaux de trait. ÉTYMOLOGIESur 1, et dos. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877surdos SURDOS. n. m. T. de Sellerie. Bande de cuir qui porte sur le dos d’un cheval de trait et qui sert à soutenir les traits et le reculement. Dictionnaire de L’Académie française 8th Edition © 1932-5surdôs SURDôS, s. m. Bande de cuir, qui porte sur le dôs d’un cheval de carrosse, et qui sert à soutenir les traits et le reculement.
surdorure
SURDORURE (sur-do-ru-r’) s. f.Action de surdorer. HISTORIQUEXVIe s. Surdoreure [COTGRAVE, ] Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877
surdorer
SURDORER (sur-do-ré) v. a.Dorer doublement, solidement. Fig.Cette aventure d’Égypte change à la fois la fortune et le génie de Napoléon, en surdorant ce génie, déjà trop éclatant, d’un rayon du soleil qui frappa la colonne de nuée et de feu [CHATEAUBR., Mém. t. v, p. 293] HISTORIQUEXIVe s. Couvercle d’argent surdoré et esmaillé [DE LA BORDE, Émaux, p. 504] ÉTYMOLOGIESur 1, et dorer ; provenç. subredaurar ; espagn. sobredorar. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877surdorer SURDORER. v. a. Dorer doublement, dorer à fond, solidement. Surdorer un lingot d’argent qui doit être mis à la filière. Surdorer, Deaurare. SURDORER, v. act. Dorer doublement ou à fond et solidement.
surdoré, ée
SURDORÉ, ÉE (sur-do-ré, rée) part. passé de surdorer Les lingots dorés, du poids de 12 à 16 marcs, payeront, pour l’or qui peut y entrer, 3 livres seulement pour chaque lingot, sans distinction du surdoré ou commun [, Arrêt. du cons. d’État, 22 sept. 1678] Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877
surdon
SURDON (sur-don) s. m.Terme de commerce.Forfait facultatif pour l’acheteur, à raison d’avaries ou mouillures accidentelles [, Suppl. de 1866 au Code gén. des lois françaises, note 2, p. 14] Sauf les exceptions portées au tableau ci-après, il n’est accordé ni dons, ni surdons, ni tolérances [, Tableau annexé à la loi du 13 juin 1866, concernant les us. commerciaux, § VIII, des régl. gén.] ÉTYMOLOGIESur 1, et don. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877
surdités
surdité n.f. [ du lat. surdus, sourd ] Perte ou grande diminution du sens de l’ouïe.Maxipoche 2014 © Larousse 2013surdité (sy?dite) nom féminin fait de mal entendre ou de ne pas entendre du tout être atteint de surdité après un accident Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.SURDITÉ (sur-di-té) s. f.Perte ou diminution considérable du sens de l’ouïe. La surdité est fort incommode. Sa surdité augmente. Fig.Et je vois presque en tous un même aveuglement, Je trouve presque en tous des surdités pareilles [CORN., Imit. III, 3] Le czar se dégoûta enfin de notre surdité pour lui, et de notre indifférence [SAINT-SIMON, 467, 152] HISTORIQUEXVIe s. Les grevures [infirmités] ont aussi parfois servi de recommandation et faveur : j’en ai veu la surdité en affectation [MONT., IV, 32] D’où vient ce fascheux mal qu’on nomme surdité ? [DU BELLAY, VII, 70, recto.] ÉTYMOLOGIEBerry, sourdeté ; génev. sourdité ; du lat. surditatem, de surdus, sourd. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877surdité SURDITÉ. n. f. Perte ou diminution notable du sens de l’ouïe. Guérir la surdité d’un homme. Guérir un homme de la surdité. Il est atteint de surdité. Sa surdité augmente. Une surdité complète. Dictionnaire de L’Académie française 8th Edition © 1932-5surdité Surdité, Surditas. SURDITÉ, s. f. Qualité de celui qui est sourd. « Guérir la surdité d’un homme; cette surdité est incurable.
surdité
surdité n.f. [ du lat. surdus, sourd ] Perte ou grande diminution du sens de l’ouïe.Maxipoche 2014 © Larousse 2013surdité (sy?dite) nom féminin fait de mal entendre ou de ne pas entendre du tout être atteint de surdité après un accident Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.SURDITÉ (sur-di-té) s. f.Perte ou diminution considérable du sens de l’ouïe. La surdité est fort incommode. Sa surdité augmente. Fig.Et je vois presque en tous un même aveuglement, Je trouve presque en tous des surdités pareilles [CORN., Imit. III, 3] Le czar se dégoûta enfin de notre surdité pour lui, et de notre indifférence [SAINT-SIMON, 467, 152] HISTORIQUEXVIe s. Les grevures [infirmités] ont aussi parfois servi de recommandation et faveur : j’en ai veu la surdité en affectation [MONT., IV, 32] D’où vient ce fascheux mal qu’on nomme surdité ? [DU BELLAY, VII, 70, recto.] ÉTYMOLOGIEBerry, sourdeté ; génev. sourdité ; du lat. surditatem, de surdus, sourd. Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877surdité SURDITÉ. n. f. Perte ou diminution notable du sens de l’ouïe. Guérir la surdité d’un homme. Guérir un homme de la surdité. Il est atteint de surdité. Sa surdité augmente. Une surdité complète. Dictionnaire de L’Académie française 8th Edition © 1932-5surdité Surdité, Surditas. SURDITÉ, s. f. Qualité de celui qui est sourd. « Guérir la surdité d’un homme; cette surdité est incurable.