absorption [ aps?rpsj??] n.f. 1. Action d’absorber : L’absorption de ce médicament doit se faire à heures fixes ingestion2. En économie, disparition d’une société après apport de son actif et de son passif à une autre société.Maxipoche 2014 © Larousse 2013ABSORPTION (ab-sor-psion, ou, suivant la prononciation réelle, ap-sor-psion ; de quatre syllabes en poésie) s. f.1° Action d’absorber. L’absorption de l’âme en Dieu. L’absorption des pluies par la terre. 2° En termes de physique, phénomène qui consiste dans l’attraction et la condensation d’un gaz ou d’un liquide par un corps solide ou liquide. 3° En termes de physiologie, action des tissus organiques par laquelle des molécules extérieures pénètrent dans leur substance. L’absorption est une propriété générale de tous les tissus vivants ; et il n’y a point de vaisseaux ou d’organes qui en soient particulièrement chargés. ÉTYMOLOGIEAbsorptio (voy. ABSORBER). Émile Littré’s Dictionnaire de la langue française © 1872-1877absorption ABSORPTION. n. f. Action d’absorber. Il se dit principalement, en termes de Physiologie, de Cette fonction par laquelle les êtres organisés attirent à eux et pompent les fluides qui les environnent ou qui sont exhalés intérieurement. L’absorption est très active chez les enfants. L’absorption du chyle se fait à la surface des intestins. Dictionnaire de L’Académie française 8th Edition © 1932-5absorption ABSORPTION, s. f. [Absorp-cion, bref.] Action d’absorber. Ce terme est bien dur, et peu usité. L’Acad. le met sans remarque.